C’est le troisième volet des aventures d’Aurel Timescu, modeste petit consul adjoint, que nous retrouvons à Bakou en Azerbaïdjan. Toujours décalé et original, il enquête sur la mort de la femme de l’ambassadeur, qui s’avère être un meurtre. Ce roman, sans prétention particulière, pétri d’humour, se laisse déguster avec plaisir. Mais son auteur nous fait aussi « profiter », en se délectant, de son expérience personnelle des ambassades… un univers marqué par la corruption et l’espionnage industriel.